Top Partenaires
TOP PARTENAIRES
Aucun résultat
Voir tous les résultats
Women Sports
Le Magazine
  • Home
  • News / Résultats
    • Magazine
      • Abonnement au magazine
      • Commander un numéro à l’unité : 5,90€ port inclus !
  • Championnes
    • Sportives : portraits et interviews
    • People
  • C’est bon pour moi !
    • Conseils pratiques
    • Sport Plaisir
    • Après le sport, le réconfort !
    • Shopping
  • Femmes d’influence
    • Dirigeantes inspirantes
    • Femmes de l’ombre
  • Newsletter
    • Abonnement gratuit
  • Africa
  • Home
  • News / Résultats
    • Magazine
      • Abonnement au magazine
      • Commander un numéro à l’unité : 5,90€ port inclus !
  • Championnes
    • Sportives : portraits et interviews
    • People
  • C’est bon pour moi !
    • Conseils pratiques
    • Sport Plaisir
    • Après le sport, le réconfort !
    • Shopping
  • Femmes d’influence
    • Dirigeantes inspirantes
    • Femmes de l’ombre
  • Newsletter
    • Abonnement gratuit
  • Africa
Aucun résultat
Voir tous les résultats
Women Sports
Le Magazine

Entretien avec deux danseuses orientales du Ballet Daloua

by Léa Borie
19 juin 2020
in C'est bon pour moi !, Sport et culture, Sport Plaisir, WS Africa
femmes danseuses
FacebookTwitterWhatsappLinkedin

Le Ballet Daloua, c’est une compagnie de danse orientale lyonnaise, animée par Hayal, professeure d’origines brésiliennes formée en Egypte. Nous partons à la rencontre de deux de ses danseuses orientales : Sayuli et Mélissa. Place de la femme sur la scène égyptienne, caractéristique du Raqs Sharqi, qualité d’une bonne danseuse orientale… Entretien.

Par Léa Borie – Extrait du magazine WOMEN SPORTS N.16 d’avril-mai-juin 2020 (dossier spécial sport en Afrique) 

Qu’est-ce qui caractérise Ballet Daloua pour vous ?

Mélissa : La liberté. Elle s’affiche dès l’intégration dans la compagnie de danse. En effet, Hayal ne pratique pas d’audition : elle ressent, elle donne sa chance aux bosseuses, elle fait confiance, elle accompagne pour aider à progresser, à donner le meilleur.

à lire aussi...

« Ma vie à la verticale », le cri de la pionnière Lynn Hill

« Ma vie à la verticale », le cri de la pionnière Lynn Hill

19 juin 2025
Révélez l’éclat naturel de vos cheveux avec ce masque ultra-violet déjaunisseur certifié BIO

Après l’effort, une nouvelle routine post-sport capillaire

16 juin 2025

Vous mettez en avant l’importance de diversifier les enseignements, les approches. Il n’y a pas de concurrence entre les profs ?

Sayuli : Chacune a plus ou moins d’élégance, d’exigence, de jeu, de complexité, de challenge, de technique… Cela donne un enseignement très complémentaire. Il arrive même à Hayal d’orienter des gens vers telle ou telle prof de danse.

Ça représente quoi d’intégrer ne compagnie, ça a l’air d’être beaucoup d’investissement…

Sayuli : Un véritable investissement ! Personnel, car il faut dégager de son temps, le soir et certains week-end, pour répéter, s’entraîner, ou pour partir en festival. Et financier, pour la partie parfois non défrayée des coûts des déplacements à l’étranger. Cela demande aussi de trouver son équilibre entre sa vie professionnelle, sa vie privée et sa compagnie !

Mais alors qu’est-ce que vous y trouvez dans la compagnie de danse ?

Mélissa : J’aime le fait de pouvoir voyager grâce aux interventions de la compagnie, et rencontrer des artistes de renom, que j’admire. C’est toute une ambiance, de danser ensemble sur scène, de nous préparer en coulisses entre copines…

Comment la danse orientale est-elle perçue selon vous aujourd’hui ?

Mélissa : Dans les festivals, elle a tendance à être uniformisée. De nombreuses danseuses russes viennent faire le show. Mais avec cet effet waouh, on finit par perdre un peu l’esprit originel. Être danseuse n’est pas toujours bien perçue finalement ; en atteste l’expression « fils de danseuse » utilisée en Egypte. Seules les grandes danseuses brillent, comme Dina Talaat. En France, on réalise la méconnaissance de la danse orientale. Comme dans bien des pays, elle peut être perçue par certains comme une danse dénudée, provocatrice. Des fois, il m’est arrivé qu’on m’appelle pour des “show privés” ou qu’on me demande d’envoyer davantage de photos. Parfois, on se censure dans nos mouvements de danse orientale, de peur que ce soit mal perçu du public.

Sayuli : Pour se sortir de ça, on concentre nos efforts sur la technique, le placement, comme pour faire oublier cette image aguicheuse que les gens se font, à tort, de notre prestation. Toujours est-il qu’il n’est pas facile de l’assumer en tous lieux. Et en même temps, le principe de cette danse est d’assumer son corps et ses rondeurs sans se cacher. Tu n’es pas juste en train de reproduire une choré’, tu utilises tout ton corps féminin !

Qu’est-ce qui fait une bonne danseuse alors ?

Mélissa : Une passionnée, une persévérante. Parfois, il nous faut 3, 4 ans pour arriver à faire un mouvement ; ça ne vient pas forcément tout de suite, tu en bouffes des exercices à la maison devant ta glace !

Sayuli : Eh oui ! Quand j’ai commencé, mon corps ne répondait à aucune exigence sportive ! (Rire) Puis j’ai appris. Sans relâche. Pour que les parties de mon corps s’animent séparément, comme un serpent ! »

Remerciements

Merci aux deux danseuses orientales Sayuli et Mélissa, passionnées, membres de la compagnie Ballet Daloua

Tags: ballet dalouacompagnie de dansedanse orientaledanseuse orientaleWOMEN SPORTS N°16
ShareTweetSendShare
Précedent

Le karaté pour reconstruire les femmes victimes de viols de guerre

Suivant

Des costumes de danse orientale expliqués par Ballet Daloua

à lireaussi...

« Ma vie à la verticale », le cri de la pionnière Lynn Hill
C'est bon pour moi !

« Ma vie à la verticale », le cri de la pionnière Lynn Hill

19 juin 2025
Révélez l’éclat naturel de vos cheveux avec ce masque ultra-violet déjaunisseur certifié BIO
C'est bon pour moi !

Après l’effort, une nouvelle routine post-sport capillaire

16 juin 2025
La trousse de Guérande Cosmétiques pour une escapade beauté !
C'est bon pour moi !

Ressourcer sa peau avec la cure sérums experts 30 jours de Guérande

9 juin 2025
Le stylisme sportswear, ça ne s’invente pas !
C'est bon pour moi !

Le stylisme sportswear, ça ne s’invente pas !

8 juin 2025
Gelée d’huile démaquillante ; l’allier parfait pour préserver la douceur de sa peau
C'est bon pour moi !

Shopping – L’éclat du terroir au service de votre peau avec l’eau florale de cassis bio de la Distillerie Saint-Hilaire

8 juin 2025
Flow par Morphée : la révolution du sport déconnecté
C'est bon pour moi !

Flow par Morphée, l’expérience sportive 100 % déconnectée

5 juin 2025
Suivant
Des costumes de danse orientale expliqués par Ballet Daloua

Des costumes de danse orientale expliqués par Ballet Daloua

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Aucun résultat
Voir tous les résultats

Derniers articles

Laetitia Bléger et la méthode Wim Hof : une immersion glacée inédite au festival La Boucle 2025
News

Laetitia Bléger et la méthode Wim Hof : une immersion glacée inédite au festival La Boucle 2025

by Ruben Dias
19 juin 2025
0

Le 14 septembre 2025, l’Hippodrome d’Enghien-Soisy accueillera un événement inédit : le festival La Boucle by Flytex, premier rendez-vous français...

Articles suivantsDetails
Football / JO 2024 – Du nouveau pour Le Sommer et De Almeida

Football – Eugénie Le Sommer inaugure une allée à son nom à Dieppe

19 juin 2025
Des pistes pour améliorer la maternité des sportives

Amélie Oudéa-Castéra vers une élection sans rival à la tête du CNOSF

19 juin 2025
« Ma vie à la verticale », le cri de la pionnière Lynn Hill

« Ma vie à la verticale », le cri de la pionnière Lynn Hill

19 juin 2025
Hockey sur glace / PWHL – Chloé Aurard quitte les New York Sirens et s’engage avec le Boston Fleet

Hockey sur glace / PWHL – Chloé Aurard quitte les New York Sirens et s’engage avec le Boston Fleet

19 juin 2025

Articles les plus lus

Pour comprendre la place du bikini dans le beach-volley féminin, il faut remonter aux origines de ce sport, né sur les plages de Santa Monica en Californie.
Enquête

La question qui tue : le beach-volley, pourquoi en bikini ?

6 novembre 2019
[LE SAVIEZ-VOUS ?] Quels sont les sports mixtes ?
Enquête

[LE SAVIEZ-VOUS ?] Quels sont les sports mixtes ?

31 août 2018
Interview de Marion Rousse (consultante médias) : l'ancienne coureuse pro est devenue la voix féminine du cyclisme masculin à la télévision.
Femmes d'influence

Entretien exclusif avec Marion Rousse : « Je ne suis pas là pour faire joli ! »

24 février 2021
Femmes et sport, l’histoire d’un long combat
Dossiers

Femmes et sport, l’histoire d’un long combat

1 juillet 2016

  • Contacts rédaction et régie
  • Women Sports Africa
  • Sport.fr
  • eSport
  • Sponsoring.fr
  • Politique de confidentialité
  • Mentions légales

© 2021 Sport & Sponsoring Media Group
Gestion des cookies

Je m'abonne : 18 € par an seulement !

Je commande le dernier numéro

Fédérations partenaires de diffusion

Aucun résultat
Voir tous les résultats
  • Home
  • News / Résultats
    • Magazine
      • Abonnement au magazine
      • Commander un numéro à l’unité : 5,90€ port inclus !
  • Championnes
    • Sportives : portraits et interviews
    • People
  • C’est bon pour moi !
    • Conseils pratiques
    • Sport Plaisir
    • Après le sport, le réconfort !
    • Shopping
  • Femmes d’influence
    • Dirigeantes inspirantes
    • Femmes de l’ombre
  • Newsletter
    • Abonnement gratuit
  • Africa