Top Partenaires
TOP PARTENAIRES
Aucun résultat
Voir tous les résultats
Women Sports
Le Magazine
  • Home
  • News / Résultats
    • Magazine
      • Abonnement au magazine
      • Commander un numéro à l’unité : 5,90€ port inclus !
  • Championnes
    • Sportives : portraits et interviews
    • People
  • C’est bon pour moi !
    • Conseils pratiques
    • Sport Plaisir
    • Après le sport, le réconfort !
    • Shopping
  • Femmes d’influence
    • Dirigeantes inspirantes
    • Femmes de l’ombre
  • Newsletter
    • Abonnement gratuit
  • Africa
  • Home
  • News / Résultats
    • Magazine
      • Abonnement au magazine
      • Commander un numéro à l’unité : 5,90€ port inclus !
  • Championnes
    • Sportives : portraits et interviews
    • People
  • C’est bon pour moi !
    • Conseils pratiques
    • Sport Plaisir
    • Après le sport, le réconfort !
    • Shopping
  • Femmes d’influence
    • Dirigeantes inspirantes
    • Femmes de l’ombre
  • Newsletter
    • Abonnement gratuit
  • Africa
Aucun résultat
Voir tous les résultats
Women Sports
Le Magazine

Cancer du sein : le sport pour guérir ?

by Léa Borie
27 septembre 2025
in C'est bon pour moi !
Cancer du sein : le sport pour guérir ?
FacebookTwitterWhatsappLinkedin

Il y a tous ces récits héroïques de femmes qui ont vaincu leur cancer du sein grâce au sport. Mais il y a aussi les douleurs, les difficultés, les trucs pour passer outre toutes les difficultés. On a tenté de peser nos mots et d’adopter le ton juste. Gageons que ces quelques pages aident et accompagnent avec le sport les femmes atteintes de cancer du sein ou leur entourage.
Par Léa Borie, Extrait de Women Sports magazine n°37 – juillet-août-septembre 2025

Toutes concernées

Les ganglions au niveau de l’aisselle, une boule dans le sein, une modi­fication de l’aspect de la peau du sein, un œdème à la poitrine… le cancer du sein peut toutes nous tomber dessus. Spor­tive ou non. Il est le plus répandu des cancers féminins. Il a touché Novlene Williams-Mills, sprinteuse jamaïcaine spécialiste du 400 m, Kikkan Randall, athlète américaine en ski de fond, Martina Navratilova, ex n°1 mondiale championne pion­nière de tennis féminin, Isabelle Mir, vice-championne de descente aux JO de 1968…

à lire aussi...

On a testé pour vous : le bain sonore, pour s’harmoniser de l’intérieur sans effort

24 septembre 2025
Portfolio : Via Ferrata, la nature à arpenter

Portfolio : Via Ferrata, la nature à arpenter

24 septembre 2025

L’oncologue suisse Bérénice Deletang insiste : bien sûr il y a des prédispo­sitions génétiques, mais la pratique sportive diminue de 25 % le risque de récidive et de mortalité sur un cancer du sein. Par ailleurs, en matière de prévention, la sédentarité et l’obési­té sont des facteurs de risques dans le cas du cancer du sein. De plus, 19 % des cancers seraient dus à des facteurs environnementaux, dont cer­tains agents cancérogènes sont clai­rement identifiés aujourd’hui.

Lutter contre la fatigue en bougeant

Fatigue extrême, douleurs articu­laires, problèmes digestifs, inflam­mations… la maladie et ses traite­ments peuvent entraîner des effets secondaires lourds, freins potentiels à la reprise d’une activité physique. Seulement voilà, cette dernière est LE remède à la fatigue.

La HAS* reconnaît l’activité physique comme option thérapeutique non mé­dicamenteuse. Des programmes APA sont prescrits par les médecins, alors qu’il y a quelques années, on prescri­vait… du repos complet. On sait au­jourd’hui que cela risque d’entretenir un cercle vicieux du déconditionne­ment : on perd en masse musculaire, on est plus essoufflé, le moindre ef­fort devient une contrainte. On en fait de moins de moins, etc.

Les effets escomptés du sport

Sommeil amélioré, meilleure tolé­rance aux traitements, stimulation du système immunitaire, régulation des œstrogènes – en lien avec certains cancers -, plus de résistance phy­sique et mentale face aux épreuves liées aux traitements, une meilleure estime de soi, une influence sur la vie sociale. Et surtout, une réduction du risque de mortalité et de récidive !

Oui. On martèle partout de continuer à faire du sport, que c’est une des clés de la guérison. Seulement voilà, il y a aussi certaines réalités. Après une intervention chirurgicale ou une radiothérapie, on peut éprouver des douleurs ou raideurs, une sensibilité accrue à la poitrine ou sous l’aisselle, une prise de poids conséquente due aux traitements et autres effets se­condaires terribles. Ce qui rend les injonctions à la pratique sportive fran­chement inconfortables !

Quelques conseils pour pratiquer au mieux malgré tout

Quel sport peut-on pratiquer après les traitements / l’opération ?

> QUOI ?

Tous ! Bien sûr, on essaie de réduire risques de chocs, mouvements très brusques et pratiques traumatiques. Méfiance dans l’immédiat avec les squats sautés, la corde à sauter et le rugby !

Vélo, marche dynamique, yoga, pilates, taï-chi, qi gong sont particulièrement recommandés pour améliorer la mobilité articulaire. Certaines s’adonneront progressivement à leur sport fétiche d’avant la maladie – escrime, surf, karaté…

> COMMENT ?

Ce n’est pas tant le sport à proprement parler sur lequel on s’arrête que sur le type de pratique : une pratique sans recherche de performance immédiate, le temps que le corps se remette.

> AVEC QUOI ?

Le soutien-gorge/brassière de sport. Bien sûr. En la matière, la marque Anita est plus qu’engagée. Sa gamme Anita Care développe prothèses mammaires externes, soutien-gorge et maillots de bain adaptés (produits post-opératoires après ablation, de chirurgie conservatrice, de reconstruction mammaire…) ; avec notamment des soutiens-gorge de compression avec bandage de décongestion lymphatique, des soutiens-gorge avec poches en microfibres pour accueillir les prothèses, des prothèses effets secondes peau. Un soin jusque dans les petits détails : bretelles rembourrées, bandes larges sous poitrine, tissu éponge pour ne pas étouffer la peau.

Des approches, des pratiques, des séjours qui aident :

Heureusement, il fleurit un peu partout en France des séjours et pratiques dédiées. Parmi eux :

  • La prise en charge spécifique du Réseau des kinés du sein (RKS), formés en sénologie
  • La plongée avec la FFESSM
  • Le water-polo avec le Cercle des nageurs de Marseille
  • L’escrime adaptée avec Solution RIPOSTE
  • L’équithérapie avec HOPE

L’ÉQUITHÉRAPIE CHEZ HOPE

L’équithérapie avec Annabel Brourhant, victime de son 4e cancer du sein

« Depuis toute petite, je suis obsédée par le cheval. Il m’a donné le sens des responsabilités et une hygiène de vie. Puis j’apprends ma maladie. Je dis au médecin “Allez-y, ôtez le sein, j’en n’ai rien à foutre. Débrouillez-vous mais je veux monter à cheval dans 3 semaines !” Je ne me suis jamais posée pour accuser le coup. Les chevaux m’ont aidée à repartir, pour créer l’association Hope ! Sans ça, j’aurais sombré. Les femmes atteintes de cancer y apprennent à se reconstruire, à lâcher prise, en compagnie de cet animal de 500 kg, à l’écoute sans rien attendre en retour. Le cheval permet d’affronter ses peurs, celle de la mort, et de passer toutes les étapes de la maladie. Avec la maladie, j’ai des périodes de doutes, je monte moins à cheval depuis 1 an ½ mais profite à pied de la connexion avec le cheval. Si je n’avais pas été malade, je n’aurais peut-être pas découvert ça. Je continue le sport, car mon nouveau médicament post-récidive me crée des douleurs de ventre atroces, en plus des troubles cognitifs. Cardio, RPM, nage en eau froide : le sport me permet de voir les choses différemment avec les endorphines. » www.hope-association.com

Une lecture qui porte :

Tout ce que je voulais, c’était courir, d’Anaïs Quemener. Avec son message “Se dépasser quand tout va bien, se surpasser quand tout va mal”, alors qu’elle est atteinte d’un cancer du sein à 24 ans.

Ce témoignage qui éclaire le bout du tunnel

Séverine Guérif en est un, de phare dans la tempête. Quin­tuple championne du monde de duathlon sprint master, elle se présente aussi comme “can­cer survivor”. Rencontre fris­sonnante d’émotion.

Ce petit bout de femme pleine d’énergie a été diagnosti­quée d’un cancer du sein en 2022, veille des Champion­nats du monde de duathlon. Mais cette compétition, elle la fera. Malgré tout. « Les examens, ça attendra la semaine prochaine, j’ai la Roumanie de prévu ! ». Le plus dur après ça ? l’annonce à son entou­rage. Puis vient le temps de l’acceptation. « Je me suis posée la question de ce que j’allais faire de ça. Ce sont les projets spor­tifs qui me porteront ».

Le verre à moitié plein

« Ce qui m’est arrivé a produit un électro­choc. Ce type d’épreuve peut révéler, et donne plus de saveur à la vie. » Oui, mais. « Il y a tout ce qu’on ne peut plus faire. On ne m’avait pas prévenue. Évidemment qu’on ne nous dit pas tout, sinon, on ne se battrait pas. Alors on fait confiance, on avance, malgré les galères ». C’est aussi le message que Séverine veut transmettre : « Accroche-toi, tu auras des vagues, adapte-toi et ne lâche pas ! Il n’y a pas de plan B. N’attends pas. Tu as un rêve ? ça te prendra le temps d’une vie, on s’en fout. »

Son antidote ? le sport, indispensable

Son chirurgien la laisse participer au 24h du Mans vélo en repoussant sa radiothé­rapie. « Il m’a regardée en rigolant : ‘Vous allez me faire une petite place dans votre agenda pour que je vous soigne’ Mais au fond, il m’a laissée faire. Il faut garder des projets pour se battre ».

Puis il y a la réalité des douleurs. « Les soi­gnants m’avaient dit, “Vous êtes sportive, ça va bien se passer“. Et ça ne s’est pas bien passé ! Au bout d’un mois post-radio­thérapie, je n’avais plus de douleur. Mais six semaines après l’hormonothérapie, je ne pouvais plus marcher ! Puis, on m’an­nonce un poumon touché par la radiothé­rapie. Pour une sportive de haut niveau, je racle le fond. J’ai l’épaule meurtrie et souffre toutes les nuits. Mais j’ai appris au Centre des douleurs que la douleur est autant fabriquée par le cerveau que réelle dans le corps. Je me documente avec mon conjoint sur les neurosciences et les capa­cités d’autoréparation. » L’image qui parle le plus à Séverine pour évoquer l’attention qu’elle porte aux douleurs ? celle du grain de sable dans la chaussure. « Il faut être tarée pour rouler sous pluie, neige, vent, froid… Mais on renforce son corps en pra­tiquant ! Le sport a été une bouée de sau­vetage. J’ai couru pendant les traitements à presque m’évanouir. J’y suis allée tant que je pouvais tenir mon guidon, parce que la douleur physique est plus facile à gérer que la souffrance morale. Se mettre dans des zones d’inconfort rend vivant, car ça ne dure pas longtemps. Aujourd’hui encore, je ne sais pas comment je serai durant les en­traînements. Est-ce que je récupérerai mon état d’avant ? Personne ne peut savoir. »

Séverine s’est pourtant donnée les moyens de récupérer, en mobilisant son épaule pour garder la souplesse après radiothé­rapie. Élastique de musculation avec mou­vements de balanciers du bras, sur le vélo, avec bâtons de marche 4 jours après l’opé­ration… « comme en prépa de compétition, en visant l’excellence, en me disant qu’il n’y a pas de petit projet, pas de petite course, en me rappelant l’importance de la récup’, de l’alimentation, de l’hydratation, et que je ne suis pas Wonder Woman ». Quoi que, lui aurait-on bien répondu…

Et de conclure en s’adressant à son can­cer du sein : « J’ai vu l’épreuve comme une bataille au début. Maintenant, j’aborde ça avec une énergie positive : tu m’as donné une bonne sonnette d’alarme. Désormais, faisons notre vie chacun de son côté ! »

Entretien avec Dr Bérénice Deletang

Spécialisée en oncologie médicale en Suisse Présidente du Conseil d’administration de l’association HOPE

Women sports : Dans quel cas conseiller à une personne de reprendre le sport post cancer du sein docteur ?

Bérénice Deletang : Tous les cas ! Sous réserve, bien sûr, que l’état général puisse le permettre. De nombreux protocoles de réadaptation oncologique intègrent le sport avec plusieurs séances par semaine. Cela aide autant sur le plan physique que psychique à se reconstruire. En effet, le corps est mutilé et le sport va aider à reconstruire la représentation corporelle. Ce n’est pas tant le type de sport mais l’intensité et la régularité sur laquelle on va se focaliser. Ici à Genève, on prend l’exemple du tram, en conseillant aux patients de descendre quatre arrêts avant leur destination pour faire leur quota de marche quotidien. Pour la temporalité, certains traitements sont plus éprouvants que d’autres. La semaine suivant le traitement, on lève le pied, avant de retrouver progressivement son activité physique d’alors. Sinon, on rentre dans un cercle vicieux, où chaque journée alité, on perd 1,5 % de force. Et on met minimum 3 fois plus de temps à la regagner.

A quelles adaptations veiller ?

C’est au cas par cas. En cas d’opération de curage ganglionnaire par exemple, on évitera les ports de charges lourdes et les exercices nécessitant de lever haut les bras, au risque de créer un lymphœdème du bras. Escalade, tir à l’arc ou golf seront parfois compliqués Avant la pose du PAC (Port à cathéter implantable), il faut mentionner si on fait un sport comme le tir à l’arc, à la carabine, du lancer (poids, javelot, disque), du tennis, du badminton ou encore du golf et préciser si on est droitière ou gauchère pour limiter au maximum l’impact de cette intervention sur sa pratique sportive (le chirurgien pourra adapter le côté de la pose du PAC par exemple). Dans la même logique, dans le cas d’une reconstruction mammaire, on utilise souvent le muscle grand dorsal ce qui provoque une cicatrice au niveau du dos avec des douleurs potentielles, pour lesquelles il faut veiller à bien étirer le dos et à ne pas trop solliciter ce muscle. L’hormonothérapie peut aussi augmenter le risque de rupture tendineuse et de douleurs articulaires. La natation est souvent indiquée, en veillant à ne pas reprendre trop tôt car l’eau ralentit le processus de cicatrisation. En cas de chirurgie mammaire, on peut présenter un déséquilibre, lorsqu’on court notamment. Et surtout, on reprend avec humilité et on s’accorde du temps. Si vous étiez une championne, vous ne reprendrez pas de suite au top mais cela viendra avec le temps.

Quel matériel est le plus adapté ?

Une brassière avec maintien adéquat sera souvent essentielle, à adapter en fonction de l’opération subie. Pour le trail, on conseille des brassières avec un fort renfort et un maintien important. On recommande aussi des manchons pour éviter les œdèmes au niveau des bras.

A lire aussi sur Women Sports :

  • Shooting photo à l’hôpital : l’énergie malgré la maladie
  • Rose Pilates : activité adaptée après cancer du sein
  • Maladie et APA : quand le sport s’invite à l’hôpital
  • Livres et podcasts santé : voix et lignes pour avancer
Tags: activité physique adaptéeAPACancer du seincancer fémininSéverine Guérifsport et cancer du seinWOMEN SPORTS N°37WS
ShareTweetSendShare
Précedent

Rugby / Mondial – La Nouvelle-Zélande domine la France et décroche la 3e place

Suivant

Cyclisme – Magdeleine Vallieres reine du monde au Rwanda !

à lireaussi...

C'est bon pour moi !

On a testé pour vous : le bain sonore, pour s’harmoniser de l’intérieur sans effort

24 septembre 2025
Portfolio : Via Ferrata, la nature à arpenter
C'est bon pour moi !

Portfolio : Via Ferrata, la nature à arpenter

24 septembre 2025
Tamara Klink au-delà des glaces : « Si on peut être heureux seul, on peut l’être partout »
C'est bon pour moi !

Lecture – Que lire quand on est au milieu de nulle part ? La sélection livres de Tamara Klink

23 septembre 2025
Le shopping de la flemme : une sélection spéciale sport sans douleur
C'est bon pour moi !

Le shopping de la flemme : une sélection spéciale sport sans douleur

22 septembre 2025
Après le sport, le réconfort !

Sélection lecture : livres de la flemme pour bouger, un peu mais mieux

21 septembre 2025
Comment choisir ses chaussures de trail ? Avec Romain, de Sport 2000
C'est bon pour moi !

Icebreaker, la fraîcheur naturelle au service des sportives

2 septembre 2025
Suivant
Cyclisme – Magdeleine Vallieres reine du monde au Rwanda !

Cyclisme - Magdeleine Vallieres reine du monde au Rwanda !

Aucun résultat
Voir tous les résultats

Derniers articles

Tennis – Après Roland-Garros, quel programme pour Loïs Boisson ?
News

Tennis / WTA Pékin – Loïs Boisson contrainte à l’abandon à cause d’une blessure

by Vanessa Maurel
29 septembre 2025
0

Loïs Boisson a vécu une cruelle désillusion au troisième tour du WTA 1000 de Pékin. La Dijonnaise, diminuée par une...

Articles suivantsDetails
Football – L’UNFP recadre l’entraîneur de l’ASSE

Football – L’UNFP recadre l’entraîneur de l’ASSE

28 septembre 2025
Judo / Euro 2023 – Blandine Pont conteste sa non-sélection

Judo / Open de Prague – Blandine Pont s’impose en -52 kg

28 septembre 2025
Handball / Ligue des champions – Metz s’offre un troisième succès consécutif

Handball / Ligue des champions – Metz s’offre un troisième succès consécutif

28 septembre 2025
Tennis / Roland-Garros – Coco Gauff et Mirra Andreeva qualifiées pour les quarts de finale

Tennis / WTA 1000 Pékin – Gauff qualifiée pour les huitièmes

28 septembre 2025

Articles les plus lus

Pour comprendre la place du bikini dans le beach-volley féminin, il faut remonter aux origines de ce sport, né sur les plages de Santa Monica en Californie.
Enquête

La question qui tue : le beach-volley, pourquoi en bikini ?

6 novembre 2019
[LE SAVIEZ-VOUS ?] Quels sont les sports mixtes ?
Enquête

[LE SAVIEZ-VOUS ?] Quels sont les sports mixtes ?

31 août 2018
Interview de Marion Rousse (consultante médias) : l'ancienne coureuse pro est devenue la voix féminine du cyclisme masculin à la télévision.
Femmes d'influence

Entretien exclusif avec Marion Rousse : « Je ne suis pas là pour faire joli ! »

24 février 2021
Femmes et sport, l’histoire d’un long combat
Dossiers

Femmes et sport, l’histoire d’un long combat

1 juillet 2016

  • Contacts rédaction et régie
  • Women Sports Africa
  • Sport.fr
  • eSport
  • Sponsoring.fr
  • Politique de confidentialité
  • Mentions légales

© 2021 Sport & Sponsoring Media Group
Gestion des cookies

Je m'abonne : 18 € par an seulement !

Je commande le dernier numéro

Fédérations partenaires de diffusion

Aucun résultat
Voir tous les résultats
  • Home
  • News / Résultats
    • Magazine
      • Abonnement au magazine
      • Commander un numéro à l’unité : 5,90€ port inclus !
  • Championnes
    • Sportives : portraits et interviews
    • People
  • C’est bon pour moi !
    • Conseils pratiques
    • Sport Plaisir
    • Après le sport, le réconfort !
    • Shopping
  • Femmes d’influence
    • Dirigeantes inspirantes
    • Femmes de l’ombre
  • Newsletter
    • Abonnement gratuit
  • Africa