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Women Sports
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Laurence Belrhiti, elle donne des coups de pieds aux préjugés !

by Floriane Cantoro
6 novembre 2018
in C'est bon pour moi !, Championnes, Femmes de l'ombre
Laurence Belrhiti est la représentante nationale du Body Karaté, un sport qui mélange karaté, fitness et musique créé pour féminiser les arts martiaux.

« Je crois que je suis pratiquement née en kimono ! (rires) ». © Alexandre Vandystadt.

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Dans la famille Belrhiti, je demande la fille ! Après le père Patrice et la mère Catherine, tous deux de grands champions, c’est désormais autour de Laurence Belrhiti, la fille, de porter le patronyme familial au plus haut sommet du karaté français. Mais dans une nouvelle discipline cette fois-ci, qui séduit de nombreuses femmes : le Body Karaté.

Propos recueillis par Floriane Cantoro
Extrait du magazine WOMEN SPORTS N.10 d’octobre-novembre-décembre 2018

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Laurence Belrhiti est la représentante nationale du Body Karaté, un sport qui mélange karaté, fitness et musique créé pour féminiser les arts martiaux.
Laurence Belrhiti, représentante nationale du Body Karaté. WOMEN SPORTS N.10.

WOMEN SPORTS : Vous êtes issue d’une famille de grands champions de karaté. Difficile de ne pas attraper le virus, non ?

Laurence Belrhiti : Je crois que je suis pratiquement née en kimono ! (rires) Pourtant, quand j’étais petite, j’ai commencé par d’autres sports tels que l’équitation, la natation et la danse. Mais très vite, la passion familiale m’a rattrapée. Mes parents sont deux grands champions : mon père est cinq fois champion d’Europe et ma mère double championne du monde combat (1990 et 1992). Ils sont tellement passionnés par le karaté qu’ils m’ont transmis leur passion.

WS : Qu’est-ce que vous a séduit dans la pratique du karaté ?

Laurence Belrhiti : 
Je suis plutôt hyper-active. J’ai tout le temps besoin de bouger. Aussi, même si j’adore les chevaux, l’équitation ne collait pas trop avec mon caractère… Même chose pour la danse. Finalement, le karaté s’est imposé naturellement. C’était «le» sport de la famille. On ne parlait que de ça. Et puis le karaté véhicule aussi tout un ensemble de valeurs. Cette discipline est une école de vie. C’est un sport qui permet de se fixer des objectifs élevés et de se battre pour les atteindre.

WS : C’est votre mère Catherine Belrhiti qui a créé le Body Karaté, une discipline associant la technique du karaté au fitness. Pour quelles raisons avoir inventé cette variante du karaté traditionnel ?

Laurence Belrhiti : Au début des années 2000, on a pris conscience que le public du karaté était un public traditionaliste masculin. Avec le Body Karaté, ma mère voulait redynamiser la pratique et attirer un nouveau public, notamment les femmes et les plus jeunes, en les initiant aux arts martiaux de manière ludique et sans affrontements. Elle a déposé le nom «Body Karaté» et a ensuite développé la pratique au sein de la Fédération française de karaté & disciplines associées (FFKDA), qui compte aujourd’hui 250.000 licenciés, afin que le mouvement prenne plus d’ampleur.

« Le Body Karaté permet de travailler l’explosivité, le cardio, la rapidité, la souplesse et la coordination »

WS : Qu’est-ce qui différencie le Body Karaté des autres disciplines empruntées au fitness et aux arts martiaux comme le BodyCombat par exemple ?

Laurence Belrhiti : Le but du Body Karaté était de s’éloigner de toutes ces pratiques déjà existantes qui mêlaient arts martiaux en tout genre, sports de combat, fitness, gym et musique rythmée. Le Body Karaté tel que ma mère l’a inventé, c’est du pur karaté en musique, redynamisé, modernisé et adapté à tous les publics et particulièrement aux femmes. Il n’existe qu’en France pour le moment. C’est un produit «made in France». Ça change un peu de tout le reste qui vient essentiellement des États-Unis, comme par exemple le BodyCombat qui s’inspire de mouvements issus du karaté, mais aussi de la boxe, du taekwondo…

WS : Comment êtes-vous devenue représentante nationale du Body Karaté ?

Laurence Belrhiti : Je faisais de la compétition lorsque ma mère a créé le Body Karaté. Au départ, je m’y suis mise pour travailler d’une autre manière ma gestuelle car c’est la musique qui impose le rythme. Je trouvais ça intéressant et utile pour mes entraînements. Ensuite, j’ai remporté six fois la Coupe de France de Body Karaté, qui est la compétition la plus importante à ce jour dans la discipline. Grâce à ça, j’ai acquis une petite notoriété dans le milieu. Ma mère avait un nom, disons que je me suis fait un prénom ! (rires). Aujourd’hui, je me déplace partout en France pour faire connaître la discipline et je donne des cours dans trois salles en Alsace. Je suis heureuse de pouvoir vivre de ma passion.

Laurence Belrhiti est la représentante nationale du Body Karaté, un sport qui mélange karaté, fitness et musique créé pour féminiser les arts martiaux.
Laurence Belrhiti et son groupe de Body Karaté photographiés par Alexandre Vandystadt lors du Festival des Arts Martiaux 2015. « Je crois que je suis pratiquement née en kimono ! (rires) ». © Alexandre Vandystadt .

WS : Quels sont les bienfaits du Body Karaté ?

Laurence Belrhiti : C’est une activité ultra-complète tant sur le plan physique que mental. Elle permet de travailler l’explosivité, le cardio, la rapidité, la souplesse mais également la coordination. Contrairement aux autres disciplines du fitness qui se pratiquent toujours de face, le Body Karaté explore toutes les directions. Les pratiquantes imaginent qu’elles se font attaquer de tous les côtés, et miment un combat dans les airs. Du coup, elles partent dans tous les sens : en avant, en arrière, à droite et à gauche. C’est super pour travailler la dissociation segmentaire, c’est-à-dire le fait de ne pas utiliser le même bras et la même jambe.

WS : La pratique est-elle réservée aux femmes ?

Laurence Belrhiti : Non, les hommes ne sont pas exclus même si pour le moment, ils se font encore rares. Sur les 13.000 pratiquants en Body Karaté, 94% sont des femmes. La principale explication est que le monde du karaté est très traditionaliste. Beaucoup d’hommes voient le Body Karaté comme une danse ou du fitness. Voilà pourquoi il est essentiel que les futurs professeurs de Body Karaté puissent bénéficier d’une formation adaptée pour réaliser des cours originaux et identifiables d’un point de vue technique.

WS : Il n’y a pas encore des cours de Body Karaté dans tous les clubs de karaté de France. Comment faire en sorte que la pratique se développe ?

Laurence Belrhiti : J’essaie de faire un maximum de stages à travers la France. J’ai créé la «sélection nationale Body Karaté Belrhiti», composée d’une soixantaine de membres. Ce sont des passionnés et bénévoles qui se rendent disponibles pour m’aider à promouvoir le Body Karaté. Des agents de développement, en quelque sorte. Ils viennent m’aider lors des stages, en fonction de leur localisation. Par ailleurs, on essaie de faire de plus en plus de démonstrations à visibilité internationale. Cette année, par exemple, on était sur le Festival des Arts Martiaux à Bercy, devant 20.000 spectateurs. La vidéo de notre show, publiée sur Facebook, a atteint les 140.000 vues en moins d’une semaine et a été partagée jusqu’à Dubaï. Je me sers aussi beaucoup des réseaux sociaux qui marchent très bien (10.000 abonnés sur Facebook, 5.000 followers sur Instagram).

BIENTÔT AU CINÉMA : LA JEAN-CLAUDE VAN DAMME AU FÉMININ !

L’année prochaine, Laurence Belrhiti sera à l’affiche du film «The Legend» produit par la société française Dom Fred Films, une version féminine et actualisée du célèbre «Bloodsport» qui a fait exploser la carrière de Jean-Claude Van Damme en 1988. C’est une photo publiée sur les réseaux sociaux qui a permis à Laurence d’obtenir le rôle principal : un coup de pieds en talons sur le parvis de Notre-Dame-de-Paris. «J’aime bien poster ce genre de photos car elles véhiculent parfaitement le message que je veux faire passer : «Je suis une femme qui pratique un sport de combat à haut-niveau tout en ayant fait des études.» Ce n’est pas incompatible !» Le cliché est remonté jusqu’au réalisateur qui l’a contactée pour lui faire part de son projet de long-métrage sur la féminisation des arts martiaux. «J’ai dit oui tout de suite : je rêve de faire du cinéma depuis que je suis toute petite !» Cet été, l’équipe du film s’est envolée pour les États-Unis afin de le présenter dans des grands festivals (Austin, Las Vegas, New York, Hollywood…), le but étant de trouver un maximum de financements pour le tournage final prévu l’année prochaine. «Le projet plaît beaucoup : les femmes dans les sports de combat est un thème qui est en pleine explosion, analyse Laurence Belrhiti. Tout le monde s’y intéresse, même les grandes marques. Dans les clips, dans les publicités… partout on voit des filles qui font des gestes de combat.» Pour notre représentante nationale du Body Karaté, «The Legend» est aussi l’opportunité de faire connaître son sport : «Dans le film, je multiplie les dédicaces au Body Karaté : je porte le pantalon rouge que je mets sur toutes nos démos, la veste blanche floquée du logo BK… Si je peux développer la pratique à l’international grâce à ce projet, tant mieux !»

LAURENCE BELRHITI, NOUVELLE ÉGÉRIE WOMEN SPORTS

À 26 ans, Laurence Belrhiti est une jeune femme pleine de vie et pleine de projets. Représentante nationale du Body Karaté, professeure dans trois clubs d’Alsace, créatrice de vêtements dédiés et désormais actrice, elle ne cesse de cumuler les casquettes ! Laurence est également marraine de l’association UNSED (Union nationale des syndromes d’Ehlers-Danlos) qui lutte contre un groupe de maladies génétiques très handicapantes provocant des douleurs permanentes chez les patients. Titulaire d’un Master II avec une double spécialisation en droit des produits de santé en Europe et en droit international et européen, elle ne ferme pas la porte à une carrière en robe noire d’avocate. Bref, Laurence est une femme accomplie, active, pétillante et sportive… qui a des rêves et les réalise ! Pour toutes ces raisons, Women Sports est fier de compter Laurence Belrhiti parmi ses belles égéries !

Miss France 2014 a testé pour nous le Body Karaté !

Laurence Belrhiti est la représentante nationale du Body Karaté, un sport qui mélange karaté, fitness et musique créé pour féminiser les arts martiaux.
Flora Coquerel, Miss France 2014, a testé le Body Karaté de Laurence Belrhiti sur le Salon international du sport au féminin (SISAF) en juin dernier, à Paris. Photo DR/.

Flora Coquerel, 24 ans, 1,82 m, adepte de danse pendant sa jeunesse est une habituée des salles de sport et des activités de plage, si l’on en croit son compte Instagram. Elle aime se dépasser, comme elle l’a prouvé en participant au Raid des Alizés Martinique il y a deux ans. La Miss sait aussi se prêter au jeu des essais de type arts martiaux ! En 2016, la jeune femme d’Orléans s’est initiée au Kajukenbo avec Vincent Parisi, champion du monde de Ju-Jitsu Combat 2012. Et il y a quelques mois, on l’a rencontrée au Salon international du sport au féminin (SISAF), où elle a testé le Body Karaté ! Voici ses réactions.

Que pensez-vous du Body Karaté ?

Ce sport est très cardio, je ne connaissais pas. J’ai fait du karaté, je voyais un peu le principe mais là, c’est tout à fait autre chose, il y a beaucoup d’enchaînements. Je conseille vraiment ce sport car c’est une bonne alternative à la version un peu plus «défense» du karaté classique. Je trouve que c’est bien adapté aux personnes qui veulent apprendre à se défendre sans prendre de coups…

Et vous, quels sont vos sports favoris ?


Je me suis beaucoup adonnée à la danse et au badminton étant plus jeune. Aujourd’hui, je fais pas mal de vélo, de fitness et de course à pied. Alors entre tout, je fais bien bosser les jambes, par contre, pas grand-chose dans les bras ! Mais pour tout ça, mon problème, c’est qu’il faut trouver du temps.

Une dernière chose à rappeler aux lectrices ?


Ne pas oublier le principal dans toute activité : s’amuser !


 

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