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La Covid-19 a-t-elle tué notre motivation à faire du sport ?

by Léa Borie
31 mai 2021
in Enquête
La Covid-19 a-t-elle tué notre motivation à faire du sport ?
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L’année 2020 et le premier trimestre 2021 nous ont prouvé qu’avec la pandémie, il fallait lutter contre isolement et sédentarité, deux maux que le sport parvient habituellement à canaliser. Brutalité des annonces de fermetures des gymnases, rideaux métalliques des salles de sport descendus, emportant avec eux parfois la motivation des pratiquants. Le printemps est d’ordinaire le moment de l’année où l’on note un vrai regain d’énergie et de bonnes résolutions sportives. Mais avec tous ces changements, sommes-nous encore motivés à faire du sport ? PAR LÉA BORIE

(Re)bond sportif pendant le confinement

Tout beau tout neuf

Premier constat, avant le confine­ment, le taux de participation et le nombre d’abonnements des Français n’ont fait qu’augmenter ces trois der­nières années, comme nous l’explique Laurent David, directeur Europe Icon Health & Fitness, producteur améri­cain de produits connectés. « Running, fitness, marche nordique, cyclisme… Ces pratiques n’ont fait qu’augmenter pendant les confinements, et le marché continue d’être en croissance. À aucun moment on a pu penser que le sport se­rait mis de côté par les Français. »

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Si l’on observe les chiffres au 2e tri­mestre 2020, on constate une partici­pation massive à la pratique du sport. Parce qu’on avait peur de prendre du poids à être confiné chez soi toute la journée, parce qu’on avait plus de temps libre sans le temps pour se rendre sur son lieu de travail… En se penchant sur les données recensées par l’applica­tion Strava, on note une augmentation de 33 % de téléchargements de l’appli par rapport à l’année précédente, et une communauté agrandie de 2 millions de nouveaux athlètes chaque mois. Celle-ci « a su se mobiliser, s’adapter et inventer de nouvelles façons de se soutenir, de progresser et de se mesurer aux autres, même à distance », détaille le communi­qué de presse. Les sportifs déjà enre­gistrés ont quant à eux augmenté leur fréquence d’entraînement de 13,3 %. Le sport en solitaire a aussi connu une progression, évidemment : 44 % des distances marathons ont été courues en solo contre 14 % en 2019.

Le fitness digital : le roi du monde

Le jour où mon salon est devenu ma salle de sport

« Il y a eu une vraie accélération du digi­tal au premier confinement. Nombre de Français ont découvert la routine spor­tive pendant ces confinements et n’ont plus l’intention d’arrêter », détaille Ar­thur Benhamou, fondateur de LaSèche, plateforme de remise en forme.

Dès le mois de mars 2020, Icon Health & Fitness a constaté une ac­célération incroyable de ses ventes, « un volume incomparable sur ces cinq dernières années, on a presque triplé nos ventes ». L’explication, se­lon le responsable Laurent David ? « La frustration des salles de sport fer­mées, qui ont laissé les adeptes sans activité, et les ont obligé à chercher des solutions alternatives. Et même au 2e confinement, beaucoup ont compris que ça allait s’installer et qu’il fallait trou­ver un moyen d’échapper à cette mono­tonie par une pratique à la maison. On le ressent car les prévisions de vente se maintiennent. »

Durant cette année écoulée, cette accélération de la pratique spor­tive à domicile s’est traduite par la mul­tiplication d’offres non structurées – des coaches sur les réseaux sociaux qui dispensent des cours à leur communau­té – mais aussi le développement massif d’applications. Les Français ont décou­vert une nouvelle approche de l’activité sportive : le sport à la demande depuis son salon. Certaines applications en­tendent même entretenir l’esprit d’équipe et le lien social. Elles se donnent le pari de garder les communautés sportives soudées, même en dehors du terrain. Par exemple, le concept Squadeasy per­met aux collaborateurs d’une même en­treprise de relever des défis sportifs en équipe, même à distance. « Vous obtenez des points en effectuant des activités, pour ensuite faire gagner votre équipe, nous explique Claire Vargel, responsable marketing de Squadeasy. Des challenges solidaires ont été mis en place à distance pour resolidariser les équipes et permettre de s’engager pour un projet qui fait sens, comme celui où chaque pas effectué par un salarié est monétisé en don pour l’AP-HP (le CHU d’Ile-de-France). Ou sous une forme similaire avec Pure Projet pour lutter contre la déforestation ».

Mais ces solutions innovantes n’ont pas pu pallier à toutes les formes de démo­tivation et éviter le décrochage chez d’autres sportifs.

Démotivation covid quand les sportifs décrochent

Sédentarité et démotivation crescendo

Dans son analyse, l’Observatoire des publics et des pratiques de la FFEPGV (Fédération française d’éducation phy­sique et de gymnastique volontaire) a révélé qu’entre les confinements, les restrictions liées à la pratique sportive et le télétravail imposé, la sédentarité a augmenté. Les clubs EPGV ont lan­cé des programmes sportifs en ligne. Seulement, encore faut-il être réceptif à cette méthode et assez initié numérique­ment pour pratiquer via un écran.

Il y a eu aussi un effet soufflé qui re­tombe après l’excitation des débuts. « Après la première vague de Covid-19, tout a commencé à revenir à peu près à la normale », d’après le communi­qué Strava. Aussi parce que le digital a probablement ses limites. Au bilan, le baromètre sport santé FFEPGV / Ipsos – 10ème édition – résultat d’une en­quête menée en décembre 2020 – fait état d’une pratique spor­tive en recul chez les femmes. « La crise sanitaire creuse d’avantage les inégalités d’accès à la pratique sportive (…), 67 % de femmes déclarent avoir eu plus de difficultés à pratiquer une activité physique », ajoute le communiqué.

« Il faut dire aussi qu’il y a eu un amal­game entre cette situation sanitaire et un engagement un peu à la va-vite, pose Nico­las Hauw, maître de conférences spécia­lisé dans les sciences et techniques des activités physiques et sportives. On pour­rait même parler d’instrumentalisation de la pratique de l’activité physique dans un contexte anxiogène, avec une pression no­tamment sur les personnes fragiles, dites à risque. On a vu la différence entre les confinements. Au premier confinement, les Français avaient une heure d’activité phy­sique par jour et en profitaient pour sortir se dépenser, mais beaucoup ont arrêté cette routine après coup ».

Expliquer la baisse de motivation

Le manque de motivation s’observe sur trois critères d’après Ludovic Savariello, expert en performance : tout d’abord lors de baisses d’énergie, qui nous font rentrer dans un cercle vicieux. Ce qui engendre des pensées négatives : les participants relèvent davantage ce qui les empêche plus que ce qu’ils peuvent y gagner. Et dernièrement s’installe la procrastination.

Une idée appuyée par Christel Abbate psychologue clinicienne spécialisée dans le suivi de sportifs : « Moins on est moti­vé, moins on en fait et cela diminue notre sentiment d’auto-efficacité. À la reprise, on n’a plus les mêmes capacités physiques. Un processus tel une spirale descendante se met alors en place. On se sent en échec et on perd son estime de soi sur le plan physique. »

Démotivation à l’ère de la pandémie : l’incertitude est reine

« Jusqu’à présent, avec cette crise, on avait la capacité de se dire qu’on allait s’en sortir. Maintenant, on entend da­vantage de discours de désespoir. On ne sait plus vraiment quand on va s’en sortir, les risques nous menacent, ce qui rend la situation confuse », analyse Arthur Benhamou de LaSèche. L’éclai­rage apporté par les neurosciences américaines cette dernière décennie nous a prouvé que le cerveau est un système prédictif, comme nous l’ex­plique Ludovic Savariello. « Or, la crise sanitaire nous a plongé dans une incer­titude totale, ce qui épuise les cerveaux avant même de savoir s’ils sont motivés. Quantité de gens s’attendent à ce que la situation redevienne comme avant, que la carotte soit mise au même en­droit. Mais c’est sans prendre en consi­dération le changement de situation. Le manque de motivation va de pair avec le manque de repères, alors qu’il faut trouver ces repères en nous, et non dans le monde extérieur ».

La psy­chologue Christel Abbate l’a constaté chez les jeunes sportifs qu’elle ac­compagne : « ça questionne le sens qu’ils mettent dans leur sport. Quand il y a une perte de sens, la motivation se perd aussi. Mon travail, en partenariat avec les entraîneurs, est de les aider à mettre en lumière leur raison d’être, ce pour quoi ils font tel sport. Et si malgré cela, il y a décrochage, c’est peut-être que ce sport n’avait pas tant de sens que ça pour eux. Souvent c’est ce qu’il se passe. On parle alors de motivation extrinsèque, issue du regard de l’autre (quand on fait du sport pour faire plai­sir à ses parents, son conjoint, qu’on va s’entraîner pour ses amis, qu’on pra­tique pour son apparence, pour gagner une coupe et être valorisé…). Cela fra­gilise le processus d’engagement ; ces motivations externes sont beaucoup plus sensibles au stress et à l’anxiété. »

Il y a aussi les occasions manquées. Christel Abbate accompagne l’équipe de France de short-track (patineurs de vitesse sur courte piste). « La ques­tion qui se pose pour les joueurs avec l’arrêt des compétitions est de savoir comment s’accrocher sans rivalité ni combativité pour évaluer les effets de leur entraînement ». La psychologue pense également à des jeunes en pôle espoir de ski freestyle au lycée clima­tique et sportif Pierre de Coubertin de Font-Romeu : « Ils ont vu les vidéos de figures de leurs concurrents en Suisse, à l’époque autorisés à pratiquer et pas eux, et avaient l’impression de ne pas faire ce qu’il fallait pour garder le ni­veau ».

Le processus motivationnel est très puissant dans le sport de compétition, comme nous le détaille Nicolas Hauw, de l’Institut de forma­tion en éducation physique et spor­tive d’Angers : « Chez le compétiteur, il n’y a que la compétition sur laquelle s’appuyer pour obtenir ce feedback qui l’aide dans sa préparation. De plus, en confinement, les sportifs se sont retrou­vés seuls à gérer leurs entraînements. Tout ceci a généré de l’anxiété chez les athlètes, comme le démontre une étude de l’Insep, en particulier chez les femmes. De plus, celle-ci a révélé une augmentation du temps sédentaire chez ces sportifs de haut niveau, eux qui habituellement se déplacent en mode doux pour leurs activités. Avec cette sensation d’avoir été enfermés, contrôlés, ils ont été davantage à la re­cherche d’opportunités d’activités, ce qui a pu révéler blessures, addictions et mauvaise gestion des émotions. »

L’autre risque aussi à moins pratiquer est de générer des frustra­tions, qui s’accompagnent de négativité. « Chez les sportifs apparte­nant à un club, à une équipe, on a vu aussi des états dépressifs apparaître. L’identité sociale, l’appartenance à un groupe est liée au soutien social. Or, les personnes qui se sont retrouvées iso­lées sans pouvoir pratiquer avec leur équipe en ont souffert ».

Court terme et plaisir : comment je rapproche mes objectifs

« On passe son temps à réfléchir à ce qu’on va faire tout de suite, comme lorsqu’on déplie son pied pour marcher. Ce qui demande d’avoir des objectifs à court terme pour s’accrocher, étaye Ludovic Savariello. Quand Camille La­court nageait six heures par jour pour éventuellement gagner les JO dans quatre ans, ce n’était pas cette compé­tition qui le sortait du lit le matin. Il n’y a rien de plus barbant que de se lever à 6h pour nager des heures dans une piscine olympique. Le schéma à court terme ‘‘motivation = récompense’’ tient si le nageur trouve du plaisir. Son truc à Camille, c’était le plongeon du dauphin à la fin de sa séance de nage ».

Explication qu’on retrouve chez la psy­chologue clinicienne Christel Abbate. « Les jeunes sportifs sont formatés, conditionnés depuis qu’ils sont petits à avoir dans le viseur les prochaines compétitions. Le sens de leur sport devient ces compétitions. Ce qui est in­téressant pendant cette crise, c’est de comprendre que leur sport, ce n’est pas seulement de performer pendant une compétition, mais de savoir pourquoi on se lève à 6h pour être au bassin à 7 et aller en cours à 8. C’est un engage­ment si lourd que s’ils n’y mettent pas plus de sens que simplement de gagner des compétitions, ils perdront leur mo­tivation. (…) On met alors en place des stratégies. Si l’objectif est de faire les JO, on va transformer ça en petits ob­jectifs à courts termes pour cibler ce sur quoi travailler chaque semaine ».

Trouver sa force

Faire la place à sa vraie motivation

« Avant covid, l’entraînement quotidien était motivé par la perspective de com­pétition et de résultat de médaille po­tentielle, relate Ludovic Savariello. Il faut retrouver du pur plaisir à s’entraî­ner ». Une dimension qui peut amener les sportifs plus loin. Sa solution pour faire revenir les décrocheurs : travail­ler à l’envers, et leur demander en préambule ce qui leur plait, pour leur apprendre à réfléchir au plaisir qu’ils trouvent dans leur sport. « Quelqu’un qui sait comment il fonctionne ne perdra pas sa motivation. C’est ainsi que certains sportifs ont su tirer leur épingle du jeu durant la pandémie ».

Un cadeau pour chacun : du temps pour se recentrer

Sans compétition, pas d’élément de comparaison. D’où ce sentiment de « végéter » dans son sport. « Mais on peut palier à ça, argumente la psycho­logue du sport, en représentant sur une échelle graduée ce que le sportif a mis en place, lister les stages, les blocs d’entraînements et les techniques ap­prises qui s’y réfèrent. Ce qui fait com­prendre aux sportifs que ce n’est pas du temps perdu. Mieux, ça les aide à remettre du sens, de l’estime de soi, de la confiance en soi, de l’engagement. Et on a le temps de le faire, ce qui ne serait pas le cas sur une saison nor­male. Des sportifs ont par exemple pu se concentrer sur des vidéos de leur discipline pour en apprendre davantage sur leur sport, et ont gardé en tête cette phrase : ‘‘Mon objectif est de progres­ser, pas forcément de gagner’’. »

« Mieux encore, des études post-confi­nement ont prouvé que des sportifs de haut niveau avaient obtenu de meil­leurs résultats avec des entraînements moins intensifs pendant la période de Covid-19. La charge d’entraînement est parfois tellement lourde que cela em­pêche le processus de performance. On a le sentiment que c’est avec la quantité uniquement qu’on va per­former, mais en réduisant cette dose d’entraînement, cela peut permettre d’avoir une approche plus globale de son activité, ce qui peut être probant chez certains. »

D’autres avantages sont relevés par Nicolas Hauw : « On l’a vu chez cer­tains sportifs autonomes avec un faible niveau d’anxiété, ils ont pu profiter de cette période pour différentes raisons : souffler, se donner du temps pour réflé­chir, aller vers des pratiques douces et méditatives… Certains sont même al­lés voir des sports totalement opposés à leur pratique, pour s’initier, se stimu­ler, prendre toutes les expériences cor­porelles possibles, non pas pour abso­lument rester en forme, comme dans le grand réflexe du premier confinement, mais pour la qualité de l’expérience sportive. Une chose rendue possible grâce à la créativité de certains clubs pour rendre leur activité plus acces­sible malgré des conditions sanitaires strictes. Ce qui est très motivant pour la personne qui s’essaye à un nouveau sport, car lorsqu’on débute une activi­té, la répétition génère l’apprentissage. Si on ne vise pas trop haut, on se re­trouve vite en posture de réussite. Si on accepte de n’avoir rien à perdre et de montrer notre incompétence, cela gé­nère à moyen terme un engagement ! »

La passion, meilleure des actions : identifier ses propres ressources

Il est grand temps de retrouver une motivation intrinsèque à pratiquer son sport, la passion, la progression, pour se réapproprier son activité. « Cela passera peut-être par une redé­finition de son projet sportif, prévient Christel Abbate. Savoir pour quelle raison précise s’entraîner permet de cibler de quelle façon on va le faire. En répondant à cette première ques­tion, il faudra se demander ce dont on a besoin pour y parvenir, afin d’iden­tifier les ressources intérieures et extérieures nécessaires, ainsi que les freins. Une démarche qui doit permettre de contourner les difficul­tés et de s’engager dans un nouveau processus qui aide à avancer. Ce qui est très important en cette période de pandémie car cela aide la personne à reprendre le pouvoir et à être actrice de son projet malgré les interdictions et les incertitudes. »

Documentations et ressources

  • Théorie de la motivation et pratiques sportives. Etat des recherches, Philippe Sarrazin, François Cury, édition PUF, 2001
  • Comment remettre la performance sportive en marche lorsqu’elle s’est mise en pause ?, article sur le blog ludovic-sa­variello.com
  • Profil motivationnel et performance sportive, N. Gillet, S. Berjot , B. Paty, Laboratoire de psychologie appliquée, 2009
  • Post-confinement : une reprise pro­gressive, maîtrisée et adaptée à l’Insep, Insep le mag N°39 – juin/juillet/août 2020
  • La pratique physique et sportive des Français sous le signe du premier confi­nement, Injep Analyses & Synthèses, n°45, février 2021

Remerciements

  • Christel Abbate, psychologue clini­cienne spécialisée dans le suivi des sportifs, préparatrice mentale de sportifs de haut niveau au CREPS (Centre de ressources, d’expertise et de performance sportive)-CNEA (Centre na­tional d’entraînement en altitude) de Font-Romeu.
  • Ludovic Savariello, expert en performance, coach professionnel accompagnant les sportifs de haut niveau. Maitre praticien en hypnose ericksonienne, hypnose et sport et programmation neurolinguistique, professeur de yoga, éducateur sportif et ingénieur centralien.
  • Nicolas Hauw, maître de confé­rences en STAPS (sciences et tech­niques des activités physiques et sportives) à l’IFEPSA-UCO (Institut de formation en éducation phy­sique et en sports d’Angers – Université catholique de l’Ouest).

A lire aussi, d’autres enquêtes sur Women Sports :

  • Sueurs froides : les salles de sport à l’heure du bilan (Covid-19)
  • [ENQUÊTE] Ces endroits du monde où les sportives ne sont toujours pas les bienvenues
  • Violences sexuelles et omerta : le sport français face à ses démon

Tags: élan de motivationhometrainningmotivationmotivation extrinsèquemotivation intrinsèquesource de motivationsport à la maisonsport en confinementWOMEN SPORTS N°20
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