Top Partenaires
TOP PARTENAIRES
Aucun résultat
Voir tous les résultats
Women Sports
Le Magazine
  • Home
  • News / Résultats
    • Magazine
      • Abonnement au magazine
      • Commander un numéro à l’unité : 5,90€ port inclus !
  • Championnes
    • Sportives : portraits et interviews
    • People
  • C’est bon pour moi !
    • Conseils pratiques
    • Sport Plaisir
    • Après le sport, le réconfort !
    • Shopping
  • Femmes d’influence
    • Dirigeantes inspirantes
    • Femmes de l’ombre
  • Newsletter
    • Abonnement gratuit
  • Africa
  • Home
  • News / Résultats
    • Magazine
      • Abonnement au magazine
      • Commander un numéro à l’unité : 5,90€ port inclus !
  • Championnes
    • Sportives : portraits et interviews
    • People
  • C’est bon pour moi !
    • Conseils pratiques
    • Sport Plaisir
    • Après le sport, le réconfort !
    • Shopping
  • Femmes d’influence
    • Dirigeantes inspirantes
    • Femmes de l’ombre
  • Newsletter
    • Abonnement gratuit
  • Africa
Aucun résultat
Voir tous les résultats
Women Sports
Le Magazine

Lucie Hautière, pépite du para tennis de table : « Saint-Quentin-en-Yvelines me permet de rencontrer un réseau que je n’aurais jamais eu »

by Vanessa Maurel
20 février 2024
in Championnes, Partenaires
Lucie Hautière, pépite du para tennis de table : « Saint-Quentin-en-Yvelines me permet de rencontrer un réseau que je n’aurais jamais eu »
FacebookTwitterWhatsappLinkedin

Née en 2000, Lucie Hautière représente l’avenir du para-tennis de table français. Soutenue par Saint-Quentin-en-Yvelines, l’athlète tricolore, hémiplégique depuis sa naissance (le côté droit de son corps est paralysé, NDLR), compte bien grimper les échelons et pourquoi pas décrocher l’or olympique, l’été prochain à Paris. Entretien. PROPOS RECUEILLIS PAR VANESSA MAUREL. Extrait du Women Sports N°31.

WOMEN SPORTS : LE SPORT A-T-IL TOUJOURS FAIT PARTIE DE VOTRE VIE ?

LUCIE HAUTIÈRE : Toujours. J’ai fait beaucoup d’activités, sportives ou non, dès ma plus tendre enfance. J’ai donc fait du tennis de table, mais avant ça, j’ai essayé la natation, l’équitation, mais aussi le ski ou encore, dans un autre registre, le chant et le dessin. Je suis passée par plein d’activités pour voir ce que j’aimais mais aussi pour me booster, être avec des personnes de mon âge, etc.

à lire aussi...

Athlétisme – Marie Josée Ta Lou passe un coup de gueule contre Netflix

Ta Lou Smith, Gbaï, Koné : les trois reines ivoiriennes du sprint mondial passées par les Jeux de la Francophonie

31 octobre 2025
HAVOBA – Entretien avec Hejer Wanna : « Le sport doit devenir un levier d’égalité, pas un miroir des inégalités »

HAVOBA – Entretien avec Hejer Wanna : « Le sport doit devenir un levier d’égalité, pas un miroir des inégalités »

30 octobre 2025

Pour parler davantage du tennis de table, j’ai commencé avec ma soeur. Elle en faisait déjà avant moi, et j’ai attaqué car je voulais faire comme elle, mais aus- si la battre (rires) ! Après, j’ai rapidement voulu m’inscrire dans un club valide et c’était assez compliqué parce que les personnes ne savaient pas forcément comment s’y prendre avec moi. Ma mère a donc contacté la fédération handisport, une fédération multisports dont le para-tennis de table. Ils nous ont conviés au Championnat de France, et c’est là- bas que j’ai pu rencontrer des personnes dans le monde du handisport.

Même si aujourd’hui je ne m’entraîne qu’avec des valides et que je trouve ça très bien à un certain niveau de s’entraîner avec eux, au début, je pense qu’il est important d’être dans un club handisport, pour être mieux accompagné. Par exemple, en raison de mon handicap, je ne sers que d’une main, et ce n’est pas un détail anodin. Quelqu’un de valide ne va pas forcément avoir de technique pour servir d’une main, alors qu’en club spécialisé, si.

QUAND AVEZ-VOUS COMMENCÉ À PENSER AU HAUT NIVEAU ?

En 2017. J’avais 17 ans, et le DTN de l’époque avait parlé de Paris 2024, et c’est à cette époque qu’ils ont commencé à voir les jeunes qui pourraient potentiellement y participer. Depuis, beau- coup de choses se sont mises en place. J’ai été sportive de haut niveau en 2018. À partir de fin 2021, après le Covid, je me suis investie plus encore dans cet objectif.

Aujourd’hui, je vise donc Paris 2024, qui fait partie de l’un de mes grands objectifs. Je m’entraîne pour, tout en conciliant mes stages, mon alternance, et mon BTS.

POUVEZ-VOUS VIVRE DU TENNIS DE TABLE ?

On ne peut pas être professionnel en para tennis de table, mais on a des contrats avec des entreprises pour pouvoir subventionner nos activités. Mais on a quand-même un travail ou des études à côté. Parce qu’on n’est pas professionnel.

EN QUOI SAINT-QUENTIN-EN- YVELINES VOUS SOUTIENT ?

Tout d’abord, Saint-Quentin-en-Yvelines me soutient financièrement. Forcément, c’est un aspect très important. Sans les sponsors, je ne pourrais pas faire tout ce que je fais dans le tennis de table. J’ai de nombreuses compétitions à subvention- ner, parce qu’elles sont à la charge de l’athlète, mais aussi tous les entraînements, les voyages, les hôtels, les entraîneurs, la préparatrice mentale, la nutrition…

Par ailleurs, Saint-Quentin me permet de faire des missions, dans les écoles par exemple. Ça me permet d’aller parler du handicap, des sports de haut niveau, de mon parcours… C’est très important car, à travers de mon parcours, je peux leur montrer que, malgré la différence, on peut faire des choses extraordinaires. S’ils comprennent ça, je pense que les enfants seront davantage bienveillants entre eux ? Qu’importe la différence, ils essayeront d’aller au bout de ce qu’ils veulent faire.

Grâce à tout ça, Saint-Quentin me permet de rencontrer un réseau que je n’aurais jamais eu.


Rencontre avec Laurent Mazaury, vice-président de SQY en charge des JOP et des sports

Vous soutenez de nombreux et nombreuses athlètes, dont Lucie Hautière (para tennis de table), Cécile Saboureau (para triathlon) ou Pauline Déroulède (tennis fauteuil), de quelle manière ?

On les soutient de plusieurs manières, d’abord financièrement. Cela fait partie des critères que nous avons automatisés depuis un moment maintenant dans notre soutien au sport. C’est-à-dire que nous avons dans nos critères d’attribution des différentes subventions où nous accompagnons les champions, des critères automatiques qui font qu’en fonction des résultats qu’elles obtiennent, nous les accompagnons concrètement et financièrement. Par ailleurs, on les accompagne sur tout ce qui touche à leur visibilité. Ce qui est compliqué pour un champion et encore plus pour une championne, c’est bien souvent d’être dans un milieu qui est trop fermé. Et par conséquent, ça vous ferme les portes pour obtenir d’autres soutiens. Nous, nous les mettons sur le devant de la scène.

Concernant le handisport, il fait lui aussi entièrement partie des critères automatiques énoncés précédemment. Il faut le savoir : au-delà des athlètes, nous aidons également énormément les clubs locaux. Et dans les critères d’attribution des aides que nous apportons aux associations et aux clubs locaux, il y a un certain nombre de critères indéfectibles qui leur permettent de récupérer des moyens en matériel, en visibilité ou en argent.

Et parmi ces critères, il y a le sport féminin, et, évidemment, le parasport et le handicap. Parce que notre objectif est de ramener les publics vers les valeurs du sport qui pourraient en être éloignés. Notre job est de faire en sorte que tout le monde puisse, à travers le sport, être libre en société et appartenir à la nation française. C’est pour ça qu’on a cet engagement fort.

Tags: handisportLaurent MazauryLucie HautièreSaint-Quentin-en-YvelinesWOMEN SPORTS N°31
ShareTweetSendShare
Précedent

Football – Jade Le Guilly prolonge avec le PSG

Suivant

Wendie Renard, Romane Menager, Perrine Laffont… vos sportives préférées créent la Playlist Women Sports !

à lireaussi...

Athlétisme – Marie Josée Ta Lou passe un coup de gueule contre Netflix
Championnes

Ta Lou Smith, Gbaï, Koné : les trois reines ivoiriennes du sprint mondial passées par les Jeux de la Francophonie

31 octobre 2025
HAVOBA – Entretien avec Hejer Wanna : « Le sport doit devenir un levier d’égalité, pas un miroir des inégalités »
Championnes

HAVOBA – Entretien avec Hejer Wanna : « Le sport doit devenir un levier d’égalité, pas un miroir des inégalités »

30 octobre 2025
« En mer, j’ai trouvé ma place » : Rencontre avec Sasha Lanièce, navigatrice et fondatrice de l’écurie 100 % féminine Les Déferlantes
Championnes

« En mer, j’ai trouvé ma place » : Rencontre avec Sasha Lanièce, navigatrice et fondatrice de l’écurie 100 % féminine Les Déferlantes

15 octobre 2025
Women Sports N°34 vous est offert par Havoba
Partenaires

HAVOBA à Dakar : le sport comme levier d’inclusion et d’égalité

25 septembre 2025
Tamara Klink au-delà des glaces : « Si on peut être heureux seul, on peut l’être partout »
C'est bon pour moi !

Lecture – Que lire quand on est au milieu de nulle part ? La sélection livres de Tamara Klink

23 septembre 2025
Réouverture de la colline d’Elancourt, Marie-Louisa Drouode en est sûre : « Ce lieu est une grande réussite ! »
Partenaires

Réouverture de la colline d’Elancourt, Marie-Louisa Drouode en est sûre : « Ce lieu est une grande réussite ! »

22 septembre 2025
Suivant
Wendie Renard, Romane Menager, Perrine Laffont… vos sportives préférées créent la Playlist Women Sports !

Wendie Renard, Romane Menager, Perrine Laffont… vos sportives préférées créent la Playlist Women Sports !

Aucun résultat
Voir tous les résultats

Derniers articles

Athlétisme – Marie Josée Ta Lou passe un coup de gueule contre Netflix
Championnes

Ta Lou Smith, Gbaï, Koné : les trois reines ivoiriennes du sprint mondial passées par les Jeux de la Francophonie

by Vanessa Maurel
31 octobre 2025
0

Elles incarnent la puissance et l’avenir de l’athlétisme ivoirien. Leur point commun ? De la légende confirmée Marie-Josée Ta Lou...

Articles suivantsDetails
Football – Pauline Peyraud-Magnin raconte les menaces subies après l’Euro

Football – Pauline Peyraud-Magnin raconte les menaces subies après l’Euro

30 octobre 2025
HAVOBA – Entretien avec Hejer Wanna : « Le sport doit devenir un levier d’égalité, pas un miroir des inégalités »

HAVOBA – Entretien avec Hejer Wanna : « Le sport doit devenir un levier d’égalité, pas un miroir des inégalités »

30 octobre 2025
Food – Karigane et Oolong Bleu : deux thés merveilleux d’Aromandise

Sous le charme des plantes : l’Herboriste dévoile son calendrier de l’Avent de tisanes bio 2025

30 octobre 2025
Biathlon – Julia Simon et Quentin Fillon Maillet conservent l’or en relais mixte simple

Biathlon – Julia Simon face à la commission disciplinaire avant la saison de Coupe du monde

29 octobre 2025

Articles les plus lus

Pour comprendre la place du bikini dans le beach-volley féminin, il faut remonter aux origines de ce sport, né sur les plages de Santa Monica en Californie.
Enquête

La question qui tue : le beach-volley, pourquoi en bikini ?

6 novembre 2019
[LE SAVIEZ-VOUS ?] Quels sont les sports mixtes ?
Enquête

[LE SAVIEZ-VOUS ?] Quels sont les sports mixtes ?

31 août 2018
Interview de Marion Rousse (consultante médias) : l'ancienne coureuse pro est devenue la voix féminine du cyclisme masculin à la télévision.
Femmes d'influence

Entretien exclusif avec Marion Rousse : « Je ne suis pas là pour faire joli ! »

24 février 2021
Femmes et sport, l’histoire d’un long combat
Dossiers

Femmes et sport, l’histoire d’un long combat

1 juillet 2016

  • Contacts rédaction et régie
  • Women Sports Africa
  • Sport.fr
  • eSport
  • Sponsoring.fr
  • Politique de confidentialité
  • Mentions légales

© 2021 Sport & Sponsoring Media Group
Gestion des cookies

Je m'abonne : 18 € par an seulement !

Je commande le dernier numéro

Fédérations partenaires de diffusion

Aucun résultat
Voir tous les résultats
  • Home
  • News / Résultats
    • Magazine
      • Abonnement au magazine
      • Commander un numéro à l’unité : 5,90€ port inclus !
  • Championnes
    • Sportives : portraits et interviews
    • People
  • C’est bon pour moi !
    • Conseils pratiques
    • Sport Plaisir
    • Après le sport, le réconfort !
    • Shopping
  • Femmes d’influence
    • Dirigeantes inspirantes
    • Femmes de l’ombre
  • Newsletter
    • Abonnement gratuit
  • Africa