Dans le Top 100 des femmes les plus puissantes du monde du sport, réalisé par le magazine économique américain Forbes, la Française Florence Hardouin, directrice générale de la Fédération française de football et membre du comité exécutif de l’UEFA, arrive en 3e position.
Florence Hardouin, directrice générale de la Fédération française de football (FFF) et membre du comité exécutif de l’UEFA, est la troisième femme la plus puissante du sport international selon le Top 100 réalisé par le magazine économique américain Forbes.
Directrice générale de la FFF depuis 2013, après qu’elle eut occupé celui de directrice du marketing pendant cinq ans, l’ancienne escrimeuse (médaillée d’argent par équipes aux championnats du monde en 1991) a été la première femme à être élue membre du comité exécutif de l’UEFA en 2016.
Curieusement, son influence sera plus élevée à l’international qu’en France si on juge par un autre classement. En effet, en janvier dernier, L’Équipe s’était essayé à distinguer « les 30 qui font le football français ». Florence Hardouin n’arrivait qu’en 22e position, devancée par des joueurs (Neymar, 1er), des entraîneurs (Zinedine Zidane, second du classement) et même des consultants pour la télévision (Habib Beye, 11e, Bixente Lizarazu, 16e) ou la radio (Christophe Dugarry, 19e).
Dans le Top 100 de Forbes, Florence Hardouin arrive derrière la Sénégalaise Fatma Samba Diouf Samoura, première femme secrétaire générale de la FIFA, qui occupe la tête du classement. À la deuxième place on retrouve Lydia Nsekera, du Burundi, qui a été la première femme élue au comité exécutif de la FIFA, en 2013, et qui depuis 2009 siège au Comité international olympique (CIO).