Ambitieuse pour son retour à la compétition, la Française veut « aller le plus loin possible ».
Après plusieurs semaines loin des courts depuis son abandon à Pékin fin septembre, Loïs Boisson a retrouvé le public mercredi à Boulogne-Billancourt, où elle a rencontré des centaines de jeunes du TCBB, son nouveau club. Si la n°1 française n’a pas pu jouer en Interclubs en raison d’une petite infiltration au genou, la Dijonnaise s’est montrée souriante et touchée par l’enthousiasme des enfants, témoignant de l’impact de son parcours à Roland-Garros sur sa popularité. Débordée mais ravie, elle a assuré que tout allait bien physiquement et qu’elle reprendrait sa préparation dès la semaine prochaine à Barcelone, dans l’académie de son nouvel entraîneur Carlos Martinez.
L’esprit déjà tourné vers l’année à venir, Boisson se dit impatiente de découvrir l’Australie, où elle débutera sa saison 2026 lors de la United Cup, à Perth, aux côtés d’Arthur Rinderknech. « Je pense que je vais adorer ce pays », confie-t-elle, consciente de l’importance de bien lancer son année avant un Open d’Australie prometteur. Face à Belinda Bencic et Jasmine Paolini pour ses premiers matchs, elle sait qu’elle devra rapidement monter en puissance pour défendre les 780 points glanés à Roland-Garros. Ambitieuse mais lucide, la Tricolore aborde cette nouvelle saison avec envie, confiance et l’objectif de confirmer son statut au plus haut niveau.
🇫🇷 « Ça ne te dérange pas si je fais ton sparring ? »
— TennisTemple (@tennistemple) November 27, 2025
Lorsque Sinner a demandé à Loïs Boisson de s’entraîner avec elle
Roland Garros 2025pic.twitter.com/A7y4mje6CN https://t.co/7w17gPc74w
Source SPORT.FR







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