Estimant être contrôlée plus souvent que les autres joueuses, l’Américaine Serena Williams a reconduit mardi ses critiques envers les autorités de l’antidopage qu’elle accuse de faire de la « discrimination » à son encontre.
Serena Williams a réitéré mercredi ses accusations envers les autorités de l’antidopage, se disant victime de « discrimination ». L’Américaine de 36 ans, aux 23 titres en Grand Chelem, estime être contrôlée bien plus souvent que les autres joueuses du circuit. « C’est le moment de la journée de faire passer un contrôle antidopage « au hasard » et de ne contrôler que Serena », a-t-elle ironisé sur son compte Twitter. À Wimbledon déjà, l’ancienne N.1 mondiale avait jugé « choquant » le traitement qui lui était réservé en matière de lutte contre le dopage. Un rapport a confirmé que, sur le seul mois de juin 2018, Serena Williams avait été contrôlée cinq fois, là où ses compatriotes n’auraient pas été testées plus d’une fois.
