Le BBH fait la promotion du sport de haut niveau féminin pour « inciter les jeunes femmes à oser faire du sport et croire en leur rêve », avec sa campagne « Bousculons les clichés ».
Mettant en scène trois de ses joueuses et des slogans en rapport avec leur parcours de championnes : «On m’a dit que les femmes ne sont pas aussi performantes que les hommes» (Kalidiatou Niakaté), «On m’a dit que je ne pourrais pas être maman et sportive de haut niveau» (Bella Gullden), «On m’a dit que les sportives n’ont rien dans la tête» (Alicia Toublanc).
En matière de communication, le BBH est particulièrement créatif ! Trop… ? En début de saison, le club brestois de la Ligue féminine de handball s’était fait remarquer par des affiches décalées pour annoncer ses matchs à domicile. Quelques jours avant de recevoir le Paris 92, des banderoles «Ici Paris perdant» avaient fleuri un peu partout dans la cité du Ponant. Le club avait récidivé contre Besançon, l’Entente sportive bisontine féminin (ESBF), avec une banderole au jeu de mots de mauvais goût : «L’E SBF à la rue».
Devant le mécontentement, le BBH a procédé à un sondage sur sa page Facebook afin de connaître l’avis général. Il a été pris en compte puisque le club a annoncé sa décision de «ne pas poursuivre la campagne de banderoles d’annonces de match à caractère humoristique».