C’est la chanceuse de l’histoire. Vice-championne olympique et du monde, l’athlète grecque commence à être suspectée de dopage en 2004. Avant l’ouverture des JO 2004 à Athènes, elle et son compagnon d’entraînement, Costas Kenteris, prétendent avoir subi un accident de moto en se rendant au village olympique pour éviter un test antidopage. Problème, c’est la troisième fois que Thánou ne se présente pas à un test antidopage. Après avoir été blanchie à plusieurs reprises par la fédération grecque d’athlétisme, elle est condamnée en première instance à 31 mois de prison avec sursis par la justice grecque en 2011. Mais elle est finalement blanchie en appel quelques mois plus tard pour manque de preuves.
© 2021 Sport & Sponsoring Media Group
Gestion des cookies