Le 20 mai prochain, Biarritz verra passer la flamme olympique. Ce symbole de paix et d’unité, traversera les rues de la ville balnéaire entre des mains bien minutieuses. Celles de la talentueuse cheffe étoilée, Andrée Rosier. PAR RUBEN DIAS. Extrait du WOMEN SPORTS N°32.
Andrée Rosier va troquer sa blouse et ses casseroles pour les chaussures et la tenue de sport. La cheffe a été choisie par le département Pyrénées-Atlantiques pour vivre n moment unique le 20 mai prochain : porter la flamme olympique. « J’étais surprise et très touchée », s’exclame-t-elle. Humble et reconnaissante, elle poursuit avec enthousiasme, « c’est un honneur. es JO en France c’est une fois dans sa vie. C’est une grande joie et une fierté de pouvoir avoir la chance de participer à cette grande fête. »
« Il va falloir que Je m’y mette »
La femme de 45 ans va parcourir les rues de Biarritz sur un parcours de 200 mètres.
« Le sport est porteur de valeurs de partage que j’apprécie forcément », lance l’ancienne joueuse de pelote basque. J’ai grandi au Pays Basque donc C’était le passage obligatoire. Je faisais es compétitions, des championnats jeunes… Cet échange m’a toujours plu ». Et qui dit donc événement spécial, dit forcément préparation spéciale. «Je ne suis pas très sportive, il va falloir que je m’y mette » confie-t-elle le sourire aux lèvres.
Des compétitions sportives aux concours culinaires
« J’ai découvert la cuisine à l’âge de 7 ans », et c’est le coup de foudre. BAC professionnel obtenu dans un lycée hôtelier en poche, elle est de plus en plus proche de son objectif. Au fil du temps, Andrée perfectionne son art travaillant aux côtés de grands chefs tels qu’Alain Ducasse et Philippe Labbé.
Son goût de la compétition refait surface. Elle enchaîne les concours jusqu’au graal. En 2017, la cheffe marque l’histoire gastronomique en devenant la première femme en cuisine à décrocher le titre de Meilleur ouvrier de France. Aujourd’hui son restaurant, situé à Biarritz, Les Rosiers, arbore fièrement une étoile au Guide Michelin. Témoin de sa passion.
Originaire du Pays Basque, Andrée puise son inspiration dans les richesses de sa région. D’abord pour sa cuisine, « nous travaillons les produits locaux. Ils sont spéciaux pour moi » explique-t-elle avant de poursuivre, « j’ai grandi à côté de l’océan. J’en ai besoin pour me ressourcer ».
Il y a « des similitudes entre le milieu sportif et la gastronomie »
Cuisine et sport, il y a « des similitudes ». Si nous parlons souvent de nutrition, les valeurs communes sont nombreuses. Et cela, Andrée Rosier compte bien le porter avec fierté le 20 mai prochain. « J’ai toujours aimé repousser mes limites. On apprend toujours lors d’une compétition. » En sport et en gastronomie, la cheffe compte tout donner. « Nous avons les mêmes exigences, la même rigueur. Donc je me suis retrouvée là-dedans et c’est avec plaisir que j’ai dit oui pour porter la flamme olympique. »
Originaire du Pays Basque, Andrée puise son inspiration dans les richesses de sa région. D’abord pour sa cuisine, « nous travaillons les produits locaux. Ils sont spéciaux pour moi » explique-t-elle avant de poursuivre, « j’ai grandi à côté de l’océan. J’en ai besoin pour me ressourcer ».
Cuisine et sport, il y a « des similitudes ». Si nous parlons souvent de nutrition, les valeurs communes sont nombreuses. Et cela, Andrée Rosier compte bien le porter avec fierté le 20 mai prochain. « J’ai toujours aimé repousser mes limites. On apprend toujours lors d’une compétition. » En sport et en gastronomie, la cheffe compte tout donner. « Nous avons les mêmes exigences, la même rigueur. Donc je me suis retrouvée là-dedans et c’est avec plaisir que j’ai dit oui pour porter la flamme olympique. »