Amélie Oudéa-Castéra s’apprête à prendre la présidence du Comité olympique français (CNOSF) sans opposition, après le retrait de Didier Séminet.
L’ex-ministre des Sports deviendra jeudi la deuxième femme à diriger l’institution, succédant à Brigitte Henriques. Cette candidature unique, lancée tardivement en avril, a suscité des critiques sur d’éventuels conflits d’intérêts, balayés par l’intéressée qui évoque un feu vert de la Haute Autorité. Malgré la polémique, Oudéa-Castéra, active dans les coulisses, cherche désormais à obtenir une légitimité forte par un score large.